Je suis partie voir Looking for Eric de Ken Loach car j’avais envie de rire. Vous allez me dire : « Ah ah quelle bonne blague, aller voir un Ken Loach pour se remonter le moral, ça va pas bien ta tête ? ». Mais ouais, c’est ça gaussez-vous, n’empêche que j’ai eu raison ! Parce que je me doutais qu’une rencontre entre le réalisateur anglais et Eric Cantona réserverait de bonnes surprises.
Eric Bishop (génial Steve Evets), postier à Manchester, a légèrement perdu son self-control et se retrouve malencontreusement à l’hôpital. Trop de soucis et pas assez de bonheur, Eric se démène entre de vieux souvenirs douloureux et un quotidien pas très drôle.
Et même si vous n’êtes pas féru(e)s de foot, vous avez sans doute entendu parler de l’équipe Manchester United et de Eric Cantona, sacré meilleur joueur de cette équipe et véritable idole en Angleterre.
Eric est fan du King Cantona (comme moi) et fait partie de ceux pour qui aller voir un match de foot au stade est un moment de bonheur volé. Au bout du rouleau, le postier voit son idole lui apparaître et, mieux que cela, l’aider à se remettre sur les rails.
Évidemment, il y a plein de rebondissements, de l’amitié sans faille, une jolie histoire d’amour et une trame sociale bien présente parce que sinon ce ne serait pas du Ken Loach (même si certains esprits chagrins trouvent que le réalisateur s’est fourvoyé avec cette comédie).
Bref ! Moi je m’y suis régalée ! Parce qu’il fallait une bonne dose d’auto-dérision à Cantona pour accepter de jouer son propre rôle et devenir le coach personnel de son fan. Il lui fallait aussi une sacrée dose d’humour pour réciter avec aplomb des aphorismes réjouissants : « si tu ne jettes pas les dés, tu ne feras jamais de double six », « tu peux changer de femme ou de religion mais pas d’équipe de foot », « -parfois on oublie que tu n’es qu’un homme –je ne suis pas un homme.Je suis Cantona. »
C’est aussi un film avec des vrais morceaux de foot et de ferveur dedans, mais pas seulement car Ken Loach nous explique que le jeu, c’est comme une métaphore de la vie : c’est donc doublement intéressant !
Eric Bishop (génial Steve Evets), postier à Manchester, a légèrement perdu son self-control et se retrouve malencontreusement à l’hôpital. Trop de soucis et pas assez de bonheur, Eric se démène entre de vieux souvenirs douloureux et un quotidien pas très drôle.
Et même si vous n’êtes pas féru(e)s de foot, vous avez sans doute entendu parler de l’équipe Manchester United et de Eric Cantona, sacré meilleur joueur de cette équipe et véritable idole en Angleterre.
Eric est fan du King Cantona (comme moi) et fait partie de ceux pour qui aller voir un match de foot au stade est un moment de bonheur volé. Au bout du rouleau, le postier voit son idole lui apparaître et, mieux que cela, l’aider à se remettre sur les rails.
Évidemment, il y a plein de rebondissements, de l’amitié sans faille, une jolie histoire d’amour et une trame sociale bien présente parce que sinon ce ne serait pas du Ken Loach (même si certains esprits chagrins trouvent que le réalisateur s’est fourvoyé avec cette comédie).
Bref ! Moi je m’y suis régalée ! Parce qu’il fallait une bonne dose d’auto-dérision à Cantona pour accepter de jouer son propre rôle et devenir le coach personnel de son fan. Il lui fallait aussi une sacrée dose d’humour pour réciter avec aplomb des aphorismes réjouissants : « si tu ne jettes pas les dés, tu ne feras jamais de double six », « tu peux changer de femme ou de religion mais pas d’équipe de foot », « -parfois on oublie que tu n’es qu’un homme –je ne suis pas un homme.Je suis Cantona. »
C’est aussi un film avec des vrais morceaux de foot et de ferveur dedans, mais pas seulement car Ken Loach nous explique que le jeu, c’est comme une métaphore de la vie : c’est donc doublement intéressant !
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