automne2011

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samedi 31 octobre 2009

Today, it's Halloween..Happy Halloween

Effectivement aujourd'hui, c'est Halloween, j'aime assez bien cette fêtes, bon rassurez vous je ne vais pas frapper chez les gens pour réclamer des bonbons !
Origine
voilà un petit article qui sert pas à grand chose, sauf à donner quelques détails sur l'origine d'Halloween.
L’Halloween (en Amérique du Nord, avec un déterminant) ou Halloween (sans article, forme utilisée en France) est une fête qui se déroule dans la nuit du 31 octobre au 1er novembre. Elle est fêtée principalement en Irlande, au Canada, en Australie, en Grande-Bretagne et aux États-Unis. La tradition la plus connue veut que les enfants se déguisent avec des costumes qui font peur ou qui font rire (fantômes, sorcières, monstres,vampires, etc.) et aillent sonner aux portes en demandant aux adultes, souvent eux-mêmes déguisés, des bonbons, des fruits ou de l'argent avec la formule : Trick or treat! (« Des bonbons ou un mauvais sort ! ») ou simplement « Halloween ! ». D'autres activités incluent des bals masqués, le visionnement de films d'horreur, la visite de maisons « hantées », etc.
L'Halloween est une fête folklorique anglo-saxonne, à laquelle certains prêtent une origine celtique, basée sur la concomitance calendaire du 1er novembre, période de l'antique fête religieuse celtique de Samain. Cette tradition a été transportée en Amérique du Nord au XIXe siècle par les Irlandais, les Écossais et autres immigrants.
Le principal symbole de l'Halloween est la citrouille, remplacée quelquefois par un potiron, issu de la légende irlandaise de Jack-o'-lantern : on le découpe pour y dessiner, en creux, un visage, puis on place une bougie en son centre.

Créations du jour

Si vous vous sentez l’âme créatrice et que vous désiriez créer un décor « tout citrouilleé, voici comment faire: Creuser des citrouilles (voir les conseils ci-dessous), puis peindre chaque tranche, y compris les tiges, en blanc. Utilisez un crayon gras pour dessiner trois cercles pour le visage, une variation des formes des yeux et la bouche sur chacune d’elles afin de donner la personnalité des citrouilles. Tailler. Placer une petite bougie votive à l'intérieur pour illuminer.
Conseils * Pour enlever les marquages au crayon gras qui sont visibles après la sculpture, l'essuyer avec un peu de vaseline ou tout autre corps gras sur une serviette en papier.
* La peinture: Peinture acrylique (disponible dans les boutiques artisanales) que vous mettrez dans des petites bouteilles car elle sèche rapidement. Toujours nettoyer les pinceaux à l'eau après chaque utilisation, car la peinture durcit rapidement sur la pointe du pinceau.

Cette année, comme j’avais envie de fêter un peu Halloween à ma façon, j’ai aussi posé au centre d’une citrouille grise, une bougie orange parce que j’avais envie de changement !
Cette année, Halloween aura lieu samedi soir. Une raison de plus pour vous concocter une soirée aux petits oignons, forcément placée sous le signe de l’horreur ! Je vous propose donc quelques petits films à regarder tout spécialement en ce Pumpkin Time !



Les grands classiques
Halloween, la nuit des masques (John Carpenter, 1978)
LE grand classique du film d’horreur à voir absolument ! Musique angoissante et obsédante, serial-killer masqué et mutique (par conséquent super flippant), jeune fille en fleur qui se bat comme une diablesse pour rester en vie, flopée d’ados qui n’ont pas autant de chance que l’héroïne.. John Carpenter pose ici les bases du slasher movie, qui atteindra son apogée dans les années 90 avec Wes Craven. L’important aussi, c’est que l’horreur est plus suggérée que réellement montrée, grâce à des mouvements de caméra alliés à la fameuse musique composée par John Carpenter himself. Souvent imitée, jamais égalée.







Shining (Stanley Kubrick, 1980)
L’un des maîtres incontesté du cinéma américain prouve ici qu’il maîtrise à merveille les ressorts de l’angoisse à travers l’histoire de Jack Torrance, qui emménage avec sa femme et son fils dans un hôtel fermé pour l’hiver. Le gardien va peu à peu perdre la raison, de plus en plus possédé par les terribles évènements qui ont lieu bien des années plus tôt. Jack Nicholson laisse libre cours à la démesure de sa folie, Shelley Duvall et Danny Lloyd interprètent quant à eux l’angoisse à la perfection. Le style de Kubrick est saisissant, un chef d’œuvre incontournable.








L’exorciste (William Friedkin, 1974)
Le père Merrin est appelé à l’aide par l’Eglise pour sauver une enfant possédée par le Démon. Le spectateur assiste donc au terrible combat qu’il va mener pour libérer la petite fille. Scène culte (le vomi, la tête à 360°, l’araignée depuis 2001), ambiance glaciale instaurée par William Friedkin..








A voir aussi : Vendredi 13 (Sean S. Cunningham, 1981), Amityville, la maison du diable (Stuart Rosenberg,1980), Les griffes de la nuit (Wes Craven, 1985).

Les slashers
Ce sous-genre de film d’horreur est un film mettant en scène des ados face à un serial killer.
Scream (Wes Craven, 1996)
Une scène d’introduction mémorable (avec Drew Barrymore dans le 1), une bonne dose de second degré, des références aux grands classiques (Vendredi 13, Halloween, Les griffes de la nuit) et un nouveau masque de serial killer inoubliable; voilà la recette de la saga Scream. Plus que tout, Wes Craven adore en mettre plein la figure à son héroïne, et tuer toutes ses copines avec imagination !








Destination Finale (James Wong, 2000)
Après Saw, la saga d’horreur la plus rentable des années 2000. Elle repose sur un concept imparable : si vous échappez à la mort alors que ce n’était pas prévu, elle trouvera toujours un moyen de vous retrouver… Chaque film de Destination Finale débute par un spectaculaire accident (avion, fête foraine, course auto, choisis ton drame!) auquel survit un petit groupe de personnes grâce à un/une héros/héroïne extralucide. Mais ça ne sert à rien puisque tout le monde se fait buter au final ! Le plus drôle, c’est donc d’assister aux trésors d’imagination auxquels « la mort » a recourt pour tuer les personnages. Ma palme : le grillage des deux filles dans leur cabine UV (Destination Finale 3) !
A voir aussi : The Faculty (Robert Rodriguez, 1998), Détour mortel (Rob Schmidt, 2003), The Hole (Nick Hamm, 2000)..


Les contemporains
La Secte sans nom (Jaume Balagueró, 1999)
La vie de Claudia bascule lorsque son unique fille est retrouvée morte. Les faits remontent à cinq ans. Sa petite fille avait à l'époque été enlevée, torturée et finalement tuée, après avoir subit d'épouvantables mutilations. Le seul signe qui permit aux enquêteurs de l'identifier fut un bracelet, et une malformation à la hanche dont souffrait la fillette depuis sa naissance. Depuis cinq ans donc, Claudia, divorcée, vit seule coincée entre sa solitude et sa vie de bureau. Et puis un jour, sa vie bascule à nouveau à la suite d'un appel téléphonique. A l'autre bout de l'appareil, une petite voix, implorante: "Maman viens me chercher !": la voix de sa fille... Bouleversée, Claudia se lance alors sur les traces de sa fille, accompagnée d'un ex-flic qui s'était occupé de l'affaire. Les indices qu'ils parviennent à rassembler les conduit à une étrange secte (Les sans nom) dont le chef Santini (un serial-killer incarcéré qui semble en savoir long sur la disparition de son enfant)est un rescapé des centres d'expérimentaions nazis. La quête de cette secte n'est autre que la synthèse du mal absolu... Inspiré du livre de Ramsey Campbell, le réalisateur choisit volontairement d'éliminer tout superflu de gore et d'horreur afin de laisser la part belle à la suggestion et à la dimension horrifique du récit. Une vraie bonne idée ! Les paysages et décors du film sont glauques, délabrés, sordides à souhait. A plusieurs reprise, le réalisateur nous assène de flash-back électriques et puissants: montez le son de votre téléviseur et vous me comprendrez. Les éléments naturels, tels que la pluie, le froid ne font que renforcer la dimension horrifique du passé. Cependant le réalisateur laisse la part belle à quelques moments de poésie grâce notamment à la sublime partition musicale de Carles Casas. Le film défile alors avec une tension crescendo. Il nous entraine dans une spirale ou la conclusion porte un nom: le mal absolu.

Rec (Paco Plaza, Jaume Balagueró, 2008)
Dans la veine des films d’horreur type « faux docu », Rec suit une journaliste de télé locale et son cameraman, qui décident ce soir-là de se pencher sur le quotidien des pompiers. Angela a la mauvaise idée de les accompagner dans un immeuble qui se trouve infesté. Quelque chose transforme les gens en zombie… L’horreur surgit sans prévenir à travers les yeux du cameraman et les émotions d’Angela. La tension entre les habitants est palpable, laissant parfois place à l’hystérie collective. Ce mélange d’horreur à la fois suggérée -la scène finale rappelle celle de Blair Witch- et montrée -les scènes gores des contaminations, des attaques des zombies – est diablement efficace. Tout d’abord, le premier petit film produit avec un micro-budget et sans acteurs connu qui a connu un succès phénoménal Outre-Atlantique grâce à Internet: « Paranormal Activity ». Le film a rapporté 535.000$ lors de sa présortie sur quelques écrans américains et il en est aujourd’hui à 62 millions de $ de recettes sur tout le pays. L’histoire : un jeune couple suspecte leur maison d’être hantée par un esprit démoniaque. Ils décident alors de mettre en place une surveillance vidéo durant leur sommeil afin d’enregistrer les évènements nocturnes dont ils sont les victimes. Sortie le 6 janvier prochain!








Pour continuer, je vous propose la bande-annonce de « [Rec] 2 » ! Suite de [Rec], tourné caméra à l’épaule et sorti en 2008, dans lequel nous suivons les aventures d’une journaliste et de son cameraman faisant un reportage dans une caserne de pompiers pour une télévision locale. La nuit est calme, aucune urgence… jusqu’au coup de fil d’une vieille dame réclamant du secours. Le tandem suit les pompiers jusqu’au fameux immeuble d’où d’étranges cris sont entendus depuis l’appartement de la vieille. A voir la tête des habitants, la journaliste pense pouvoir tourner le reportage de l’année… et elle n’imaginait pas à quel point.








Saw (James Wan, 2005)


Saw, c’est la saga d’horreur « concept » des années 2000. Sorti en 2005, le premier film – le meilleur comme c’est souvent le cas- posait les bases : un maître criminel enferme un petit groupe de personnes et les confronte à des choix cornéliens comme tuer son compagnon d’infortune ou mourir, se mutiler pour s’en sortir… Tout cela dans le but de faire comprendre à ses victimes qu’elles doivent vivre leur existence à fond. C’est glauque, flippant, et très gore. Au fur et à mesure des films, on en apprend plus sur le tueur au puzzle et ses divers disciples. D’ailleurs, Saw 6 sort la semaine prochaine sur les écrans (4 novembre) et promet de nous révéler le véritable dessein qui se cache derrière ces actes de tortures.











The Grudge (Takashi Shimizu, 2004)
Ce film de fantômes est un des plus grands moments de ces dernières années ! Takashi Shimizu propose ici un remake américain de son propre film mettant en scène deux acteurs de série tv, Sarah Michelle Gellar et Jason Behr, parfaits en couple d’expatriés vivant au Japon. Karen se retrouve confrontée au fantôme d’une femme très en colère dans une maison maudite. La réussite du film tient à sa « méchante » : cheveux longs noirs, peau blanche, cri rauque terrifiant, apparition surprise dans un quotidien banal… Un régal !
A voir aussi : The Descent ((Neil Marshall, 2005), La colline a des yeux (Alexandre Aja, 2006)
Et pour finir sur une note plus drole, voici la bande annonce d’un petit film de chasse aux zombies.








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